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La décision récente de la Cour d’appel dans Lemieux c. Aon Parizeau, 2018 QCCA 1346 illustre l’importance de prouver non seulement la conduite fautive, mais aussi les dommages reliés à cette faute.
Dans la récente décision Selectron inc. c. Gagnon, 2015 QCCS 4143[1], la juge Élise Poisson applique le principe selon lequel, malgré les lacunes dans la preuve, le tribunal a le devoir d’arbitrer le quantum du préjudice lorsque son existence, de même que celle d’une faute et d’un lien de causalité est malgré tout établie.